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En 2021 comme les années précédentes, l'Etat va dépenser énormément d'argent pour le programme du contrôle automatisé. Voici le détail de toutes les dépenses telles qu'elles ont été présentées dans les documents du projet de Loi de finances.
Cette année, le budget des radars automatiques reste à un niveau de dépenses record et les recettes prévisionnelles repartent à la hausse.
Après deux années de recettes au plus bas suite à la destruction de nombreux radars lors du passage au 80 km/h et la crise des gilets jaunes, tous les voyants sont revenus au vert en 2021.
Le gouvernement table sur des recettes radars de 809 M€ via les amendes forfaitaires, un chiffre auquel il faut ajouter plus de 150 M€ de recettes via les amendes majorées.
Reste à savoir si cette estimation n'est pas un peu trop optimiste. Certes, le nombre de radars va encore augmenter en 2021 puisque 4 700 dispostifs devraient être en service d'ici la fin de l'année mais les dernières prévisions de recettes se sont révélées très surestimées.
En 2020 par exemple, au lieu des 729 M€ prévus, ce ne sont environ 550 M€ qui seront encaissés même si cela s'explique en partie par les diverses périodes de confinement et autres couvre-feux qui ont entrainé une baisse de la circulation.
Les dépenses du budget des radars automatiques pour l'année 2020 restent à leur plus haut niveau, c'est-à-dire à plus de 330 M€ comme en 2019 et 2020.
Les dépenses de l'Etat pour les radars automatiques au cours de l'année 2021 sont réparties en quatre actions distinctes: les dispositifs de contrôle, le centre national de traitement, le soutien au programme et le fichier national du permis de conduire. Voici en détail les dépenses annoncées pour ces quatre actions.
Cette action porte les crédits demandés en vue de maintenir et de moderniser le parc d'équipements de contrôle automatisé.
Conformément aux orientations fixées par le comité interministériel de la sécurité routière du 2 octobre 2015, ce parc devrait compter au 31 décembre 2021, 4 700 appareils :
- 1 000 radars fixes (dispositifs de contrôle du respect des vitesses limites autorisées) ;
- 400 radars discriminants (radars fixes permettant de distinguer les vitesses des véhicules légers de celle des poids lourds) ;
- 450 radars mobiles « embarqués/débarqués » (dispositifs de contrôle embarqués dans des véhicules mis à disposition des forces de l'ordre, et permettant des contrôles en mode embarqué ou débarqué, véhicule à l'arrêt) ;
- 450 voitures radars sont déployées. Il est prévu que la conduite de 223 de ces voitures radars soit externalisée;
- 250 radars autonomes, jusqu'à présent appelés radars chantiers (radars semi-fixes destinés à assurer un contrôle des vitesses dans les zones de chantier ou de danger temporaire) ;
- 72 radars vitesse moyenne, aussi appelés radars tronçons (radars permettant de mesurer la vitesse moyenne d'un véhicule sur un tronçon de route de plusieurs kilomètres) ;
- 300 radars feux rouges (radars permettant de sanctionner les franchissements illicites de feux tricolores) ;
- 78 radars passages à niveau (radars permettant de sanctionner les franchissements illicites de passages à niveau) ;
- 1200 radars tourelles (le dispositif de contrôle est installé dans une tourelle fixe afin de contrôler le franchissement feux rouges, la vitesse ou le franchissement des passages à niveau, et sera régulièrement déplacé);
- 500 radars urbains (le dispositif de contrôle est installé dans une tourelle fixe afin de contrôler le franchissement feux rouges, la vitesse, et sera régulièrement déplacé).
Par ailleurs, la DSR gérait jusque là directement un parc de radars pédagogiques (880 environ), dont les collectivités sont responsables (et qui signalent aux automobilistes leur vitesse, sans sanctionner les infractions).
Fin 2020, début 2021, la DSR procédera à une rétrocession de ces équipements aux collectivités, en s'appuyant sur le réseau territorial de l'État. Dans la continuité de ce dispositif, cette action se poursuivra, par un financement et une gestion locale de ces équipements.
La dotation demandée pour 2021 doit permettre de financer les dépenses liées :
- au déploiement des nouveaux dispositifs de contrôle : radars discriminants, radars mobiles de nouvelle génération (avec notamment l'acquisition de nouveaux véhicules dans lesquels ils sont installés), radars déplaçables ;
- à leur maintien en condition opérationnelle : opérations de maintenance préventive et curative et traitement du vandalisme ;
- au pilotage des dispositifs de contrôle : suivi du bon déroulement des déploiements et de la maintenance des dispositifs de contrôle.
Ce poste permet d'assurer :
- l'entretien des dispositifs en place (maintenance) et leur vérification réglementaire ;
- leur maintenance curative pour faire face aux pannes et aux accidents ;
- leur adaptation aux évolutions logicielles ;
- la réparation, voire le remplacement des radars vandalisés ;
- le déplacement stratégique des radars ou de la modification de l'implantation des radars en fonction de l'évolution de l'accidentalité routière ;
- l'externalisation de la conduite des véhicules contenant les radars mobiles (déploiement progressif par région).
Ces dépenses se répartissent comme suit :
Type de dispositif | Dépenses 2021 |
---|---|
Maintien en condition opérationnelle et vie du parc des radars fixes | 19 000 000 € |
Maintien en condition opérationnelle des radars mobiles | 15 000 000 € |
Maintien en condition opérationnelle des radars déplaçables | 12 000 000 € |
Déplacement des radars déplaçables | 5 000 000 € |
Prestations de conduite des équipements mobiles | 17 100 000 € |
Coûts récurrents du SI et des télécoms | 4 000 000 € |
Le déploiement des radars tourelle se concentre désormais sur de nouveaux emplacements en configuration leurre.
Le nouveau radar urbain remplacera des radars feux rouges, des radars fixes situés en agglomération ou sur les itinéraires sécurisés, pour couvrir ensuite de nouveaux emplacements.
Ce dispositif urbain se compose comme pour le radar tourelle d'une partie fixe (la tourelle) et d'un matériel de contrôle déplaçable (radar).
Selon le cas la tourelle peut comprendre ou non un matériel de contrôle qui mesure le respect de la signalisation tricolore ou la vitesse de circulation.
Le nouveau radar urbain, commencera à être déployé en 2021. Début 2021, l'expérimentation aura permis de déployer 100 cabines (20 radars opérationnels). La cible est d'en déployer 500 en 2021.
Le parc de radars autonomes sera porté à 250 équipements fin 2021.
Le déploiement de l'externalisation de la conduite des voitures radars, lancée dans 4 régions entre le printemps 2018 et 2020, se poursuivra dans 4 autres régions début 2021 (Hauts de France, Grand Est, Nouvelle Aquitaine et Bourgogne Franche Comté). Il sera alors possible de multiplier le temps de contrôle réalisé avec cet équipement, en particulier sur les itinéraires de contrôle par panneau leurre. La mesure sera généralisée en 2021 à la quasi totalité des régions métropolitaines.
Le développement d'un système d'information est poursuivi en 2021 afin de permettre l'optimisation des multiples déplacements des radars déplaçables et la définition des missions des voitures radars à conduite externalisée.
Ces dépenses se répartissent comme suit :
Type de dispositif | Dépenses 2021 |
---|---|
Acquisition et déploiement d'équipements fixes (dont dév.) | 4 000 000 € |
Acquisition et déploiement d'équipements mobiles | 12 000 000 € |
Acquisition et déploiement d'équipements déplaçables | 31 250 000 € |
Construction du SI du DCA et déploiements télécom | 5 300 000 € |
Prestations et moyens d'essai pour l'homologation | 2 000 000 € |
Déploiement de dispositifs de signalisation | 3 000 000 € |
Le pilotage du déploiement et du maintien en condition opérationnelle se décline en trois grandes actions :
- la gestion du déploiement et de la maintenance des dispositifs au quotidien par chacun des équipementiers, incluant notamment une présence permanente au centre national de traitement de Rennes pour la supervision des dispositifs ;
- la maintenance et la supervision des télécommunications par un prestataire afin d'assurer l'effectivité des transmissions des messages d'infraction au Centre national de traitement de Rennes ;
- l'assistance à maîtrise d'ouvrage confiée à des prestataires chargés de coordonner les différents acteurs de la plupart des marchés, d'assurer le suivi financier ainsi que celui des stocks des pièces de rechange.
Ces dépenses se répartissent comme suit :
Type de dispositif | Dépenses 2021 |
---|---|
Pilotage des marchés des équipements fixes | 15 300 000 € |
Pilotage des marchés des équipements mobiles | 16 600 000 € |
Pilotage des marchés des équipements déplaçables | 12 800 000 € |
Pilotage du marché télécom | 2 300 000 € |
AMOA métier | 9 600 000 € |
Pilotage de dispositifs de signalisation | 700 000 € |
Cette action porte l'ensemble des crédits consacrés au traitement des messages d'infractions constatées par un dispositif de contrôle automatisé et à leur transformation en avis de contravention. Ces crédits sont versés à l'Agence nationale de traitement automatisé des infractions (ANTAI) au travers d'une subvention pour charges de service public
(au titre de ses dépenses de fonctionnement et de titre 2) et d'une dotation en fonds propres (pour financer ses dépenses d'investissement).
L'ANTAI, établissement public administratif de l'État placé sous la tutelle du ministère de l'intérieur, a été créée par le décret n° 2011-348 du 29 mars 2011. La présentation détaillée de cet opérateur figure dans le projet annuel de performances du programme 753 « Contrôle et modernisation de la politique de la circulation et du stationnement routiers ».
En 2021, le programme 751 prévoit d'allouer à l'ANTAI une dotation globale de 92 M€. Cette dotation est versée pour partie sous la forme d'une subvention pour charges de service public et pour partie sous la forme d'une dotation en fonds propres.
La subvention pour charges de service public de 77 M€ permettra à l'ANTAI de couvrir les charges liées :
- à l'exploitation des systèmes informatiques;
- aux frais d'éditique et d'affranchissement des avis de contravention relevant du contrôle automatisé : édition, publipostage, routage et affranchissement des avis de contravention, traitement du courrier reçu au CNT dans le cadre des recours émis par des contrevenants;
- au marché de paiement;
- au centre d'appels pour les demandes liées au contrôle automatisé;
- à des dépenses partagées avec le procès-verbal électronique : gestion du bâtiment du centre national de traitement (CNT) de Rennes, pilotage et support (assistance à maîtrise d'ouvrage, fonctionnement courant, immobilier hors CNT...), masse salariale.
La dotation en fonds propres de 15 M€ permettra à l'ANTAI d'assurer la maintenance évolutive de ses applications informatiques afin d'y intégrer de nouvelles fonctions ou d'en améliorer le fonctionnement.
Afin d'apporter la connaissance scientifique indispensable à la prise de décision publique, compte tenu des enjeux forts affichés par le dernier comité interministériel de la sécurité routière (CISR) du 9 janvier 2018 pour réduire la mortalité routière et le nombre de blessés graves à l'horizon 2030, il convient d'intensifier les études, les recherches, les expérimentations et les évaluations des dispositifs de sécurité routière. L'accent sera mis sur la visée opérationnelle des résultats des études et leur valorisation auprès du décideur public, et sur l'évaluation de l'efficacité et de l'impact sur l'accidentalité, sur le comportement et les pratiques des dispositifs de sécurité routière.
Un budget de 4,5 M€ est demandé en vue de financer un programme d'études qui découle de la démarche d'appel à projets d'études et recherches de la DSR pour 2018-2022. Cet appel à projets se fonde sur 7 thèmes prioritaires :
1. les usagers vulnérables (piétons, cyclistes, usagers d'engins de déplacement personnel et de deux-roues
motorisés) ;
2. les jeunes et les personnes âgées ;
3. la réduction du nombre de blessés graves ;
4. les facteurs comportementaux (la vitesse, l'alcool, les stupéfiants, le non respect des règles de circulation, le défaut d'attention et la perte de vigilance) ;
5. les aides au respect des règles et à la circulation en sécurité ;
6. le véhicule intelligent ;
7. l'évaluation de l'action publique en faveur de la sécurité routière et l'examen des synergies avec d'autres politiques publiques.
A l'appui de ces axes stratégiques, la DSR publie chaque année un appel à projets qui s'adresse à toutes les communautés scientifiques et à tous les acteurs, publics ou privés, impliqués dans la recherche en matière de sécurité routière. Cela lui permet de mieux structurer son programme de soutien et d'élargir ses partenariats. Cet appel à projets rencontre un vif succès auprès des équipes d'études et recherches sur des thèmes et disciplines variés. Ceux-ci mobilisent de nouvelles équipes et laboratoires, mais aussi des associations et des spécialistes en ergonomie et biomécanique.
Parmi les projets soutenus, on compte celles qui se fondent sur les données issues du Registre du Rhône, essentielles au recueil de données complémentaires en santé publique, nécessaires au croisement avec d'autres bases en épidémiologie. Le recueil et le suivi des blessés graves sont notamment des données indispensables au plan national et européen.
Ce budget permet également l'acquisition de données grâce à l'observation par sondage des paramètres de la circulation routière et du comportement des conducteurs en France (vitesses moyennes pratiquées, port de la ceinture de sécurité, port du casque par les usagers des deux-roues motorisés (2RM), utilisation du téléphone au volant, taux d'occupation des véhicules). L'accès aux données de déplacements (vitesses maximales autorisées (VMA), vitesses) a été renforcé par un marché d'acquisition de données auprès de fournisseurs tiers. Leur exploitation contribue à une meilleure mesure de l'exposition aux risques et alimente des études statistiques et des analyses au regard des caractéristiques des déplacements, afin d'expertiser l'adéquation des VMA aux contraintes du réseau routier et aux comportements des usagers de la route. Les informations collectées permettent de mesurer une partie des indicateurs du programme et d'alimenter le nouveau système d'information de l'ONISR ainsi que les analyses de l'observatoire des vitesses et des comportements des usagers.
La refonte du système d'information, progressivement opérationnel en 2019, tout en améliorant la qualité des données sur les accidents, intégrera les procès-verbaux des accidents ainsi que les données disponibles sur les routes (caractéristiques, kilomètres parcourus, vitesses). Des rapports et des cartographies de l'accidentalité couvrant l'ensemble des territoires seront également disponibles et exploitables dans le cadre de nouvelles études. L'analyse des données doit encore être approfondie, notamment sur la base des données de trafic et de comportements progressivement disponibles.
La DSR souhaite également renforcer son programme d'évaluation des politiques et des dispositifs de sécurité routière. Sa programmation est ainsi ouverte à une expertise extérieure, spécialisée en évaluation et conseil auprès du décideur public, par le biais d'appels d'offres de marchés publics, grâce à une enveloppe réservée au sein du budget des études. La mise en oeuvre des mesures du CISR, accompagnée par la mise en place d'évaluations, se traduit par une structuration et une montée en puissance du programme d'évaluation de la DSR.
Ces dépenses concernent le fonctionnement courant des services du département du contrôle automatisé (DCA) de la DSR.
Conformément aux décisions prises par le CISR du 9 janvier 2018, un fonds spécial « innovation » a été créé en 2019 afin de promouvoir les nouvelles technologies au service de la sécurité routière. Ce fonds est doté de 0,25 M€ sur le programme 751 en 2021 comme en 2020. Une dotation d'un montant de 0,5 M€ est également prévue sur le programme 207 « Sécurité et éducation routières » au profit de ce fonds.
La DSR mobilisera en 2021 une enveloppe de 8 M€ pour financer des campagnes de communication nationales sur les dangers de la vitesse au volant, en direction des motocyclistes et des automobilistes, et les vecteurs aggravants d'insécurité routière, notamment les conduites addictives.
La communication constitue un levier de la lutte contre l'accidentalité routière. Elle agit dans un axe de prévention, d'information et d'éducation afin de changer les comportements. Elle permet également de faire la pédagogie de la règle et de favoriser l'acceptabilité sociale des mesures.
Depuis la LFI 2013, le programme 751 participe aux frais de fonctionnement que supporte la trésorerie du contrôle automatisé au titre de sa mission de recouvrement des amendes des radars.
Ces dépenses concernent :
- le commissionnement bancaire (2,91 M€);
- l'affranchissement (0,57 M€);
- les frais d'huissiers (1,32 M€)
Le dispositif du permis de conduire à points, instauré en 1992, constitue un instrument privilégié de la politique de prévention et de lutte contre l'insécurité routière et fait partie intégrante du système de formation et de suivi de l'évolution des comportements des conducteurs.
L'intérêt pédagogique du permis à points reste conditionné par la qualité des informations effectivement délivrées aux conducteurs responsables d'infractions donnant lieu à un retrait de points. À ce titre, le Code de la route prévoit l'envoi de différents types de courriers destinés à assurer la meilleure information possible de chaque titulaire du permis de conduire quant au nombre de points affectés à son dossier et à la validité de ses droits à conduire.
Ces courriers sont édités à partir des données traitées par l'application réglementaire « système national des permis de conduire (SNPC) », qui comporte toutes les informations nécessaires à la gestion des droits à conduire (examens du permis de conduire, commissions médicales, mesures administratives et judiciaires, retraits et restitutions de points...).
En 2021, les crédits de cette action ont pour objet de financer :
- l'édition et l'affranchissement des courriers destinés aux conducteurs, titulaires du permis de conduire français, dans des conditions comparables à la situation actuelle ;
- les dépenses liées à la mise en oeuvre de la dématérialisation de la communication du solde et des lettres de retrait et de restitution de points aux conducteurs en faisant la demande ;
- les dépenses de fonctionnement liées à la maintenance de l'application SNPC ;
- les dépenses de modernisation de l'ensemble de l'écosystème de l'éducation routière et du permis de conduire.
Envoi de lettres de notification de points:
Le montant des dépenses destinées à l'éditique (matérielle ou numérique) et à l'affranchissement des lettres de retrait et de restitution de points est évalué à 18,9 M€ pour 2021
Les besoins pour 2021 se fondent sur la nécessité d'éditer et d'expédier par voies postale ou dématérialisée 24,5 millions de lettres, en prenant en compte la remise en service de l'intégralité du parc de radars et l'installation de nouveaux types de radar sur le nombre d'infractions constatées (soit 13 millions de lettres de retrait de points et 11,5 millions de lettres de restitution de points). Ces prévisions intègrent la communication par voie dématérialisée des lettres à hauteur de 10 %.
Fonctionnement du bureau national des droits à conduire (ex service du Fichier national des permis de conduire):
Au titre de 2021, il est prévu de consacrer 0,1 M€ en AE et CP aux dépenses de fonctionnement du bureau national des droits à conduire.
2. Système d'information de l'éducation routière et du permis de conduire (SI-ERPC) - 19,5 M€
Le fonctionnement et la modernisation de l'écosystème de l'éducation routière et du permis de conduire nécessitent en 2021 les dépenses suivantes :
- Dépenses de tierce maintenance applicative : 4,2 M€;
- Dépenses de maintien en condition opérationnelle et d'hébergement : 2,6 M€;
- Dépenses de conduite du projet d'évolution : 3,5 M€;
- Dépenses de mise en oeuvre du projet d'évolution : 9,3 M€ (Ces dépenses portent sur la modernisation du SI du permis de conduire).