Contravention
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Entre 2007 et 2008, une dizaine de radars fixes autour de Paris ont été détruits à l'explosif!
Toutes ces destructions étaient l'oeuvre du FNAR (Fraction nationaliste armée révolutionnaire (ou Front National anti-radar)) qui a revendiqué ses explosions.
Derrière ce nom se cachait en réalité un seul homme, Frédéric Rabiller, qui a été grièvement blessé en manipulant chez lui ses explosifs de type TATP (triacétone tripéroxide) puis qui s'est suicidé avant son procès.
Depuis cette date, les attaques de radars à l'explosif sont extrêmement rares mais un cas a été constaté en 2011 sur l'A31 à Champigneulles (54).